
En toile de fond, il y a les dernières rondeurs des Apennins, les cyprès longilignes élancés vers un ciel azur, quelques domaines viticoles campés sur les coteaux. L’air est doux et léger.

Nous avons surpris Florence ce matin dans une Toscane de carte postale. Et toute la journée, des arches du ponte Vecchio enjambant l’Arno, aux pierres de marbre vert de la Cathédrale Santa Maria Del Fiore, tout fût éblouissant.



Alors quand nous sommes montés jusqu’au jardin Bardini pour contempler la cité une dernière fois, comme pour Venise, comme pour Rome, c’est ce mot qui nous est venu à l’esprit : « Eternel ».



Florence est éternelle, c’est cela. Et il fait bon parfois frôler l’éternité en s’y promenant. N’est-ce pas ?

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