Tachkent, la porte ouzbèke
Nous, c’était toujours l’aube qu’on affectionnait. Les couchers de soleil étaient beaux évidemment mais ils empestaient la nostalgie. Le point du jour, lui, sonnait le clairon pour partir à l’assaut de promesses que nous ne tiendrons peut-être pas mais qu’au … Continuer de lire Tachkent, la porte ouzbèke

